I want to travel the world. https://alleycat.journalintime.com/ Le reggae est la musique du tiers-monde. Le metal c'est pas un truc avec des petites fleurs de merde. La musique c'est ce qui fait de moi un être, une âme qui vibre. fr 2017-05-16T10:49:08+02:00 https://alleycat.journalintime.com/Je-suis-encore-la-en-2017 Je suis encore là en 2017. Ca fait maintenant une éternité que je suis venue ici. Rien à changer mis à part moi. J'ai réussi à avoir mon concours d'éducateur spécialisé et je suis rentrée en école en septembre 2016. Aujourd'hui, j'ai arrêté ma formation depuis un mois. Finalement, rien ne me plait pas dans ce métier, je ne retrouve pas ce que j'attendais. Je suis déçue de cette formation, de mes stages ainsi que des personnes qui étaient dans ma promotion. Je repars donc à zéro et redevient animatrice de centre de loisirs, mais plus au même endroit. Il faut savoir que beaucoup de changements se sont Ca fait maintenant une éternité que je suis venue ici. Rien à changer mis à part moi. J’ai réussi à avoir mon concours d’éducateur spécialisé et je suis rentrée en école en septembre 2016. Aujourd’hui, j’ai arrêté ma formation depuis un mois. Finalement, rien ne me plait pas dans ce métier, je ne retrouve pas ce que j’attendais. Je suis déçue de cette formation, de mes stages ainsi que des personnes qui étaient dans ma promotion. Je repars donc à zéro et redevient animatrice de centre de loisirs, mais plus au même endroit. Il faut savoir que beaucoup de changements se sont opérés dans ma vie et que j’ai encore un peu de mal à tout assimiler. Ma vie d’avant me manquant quelques fois. J’habite désormais avec A, mon copain. Tout se passe à merveille, mais je suis loin de mon ancienne vie et repartir à zéro quand finalement notre formation ne nous plaît pas devient tout à coup très compliqué. Je suis motivée pour changer de métier, mais je ne sais pas encore quoi. Du coup, l’animation m’a tendue les bras, seul registre que je connaisse vraiment. Cependant, cela me plaît de moins en moins, il faut vraiment que je continue dans ma remise en question pour trouver ce que j’aime réellement. Aussi, quelques amis à moi me manque, ceux qui sont restés dans mon ancienne vie et qui habitent loin, je le vis un peu mal. J’ai l’impression de stagné et de ne pas avancer. A 20 ans, je n’ai pas du tout le même schéma que les autres - qui je dois dire, se démerde mieux que moi professionnellement parlant - et cela me fait peur. J’ai commencé à faire des crises d’angoisse avant d’arrêter ma formation et ça s’arrange pas, surtout la nuit quand je cogite. J’aime A, il m’encourage et me motive, nous avons créer un réel nid d’amour dans ce nouvel appartement et je m’y sens bien. Mais je me dis que si un jour il n’est plus là, je n’ai plus rien. Je veux dire que l’appartement lui appartient et que je l’aide financièrement à côté. Il a le permis et pas moi, plus pratique pour se déplacer. Il est calme et me tempère m’apportant énormément d’amour que j’accepte avec joie. Mais malheureusement, je suis devenue dépendante de lui et je veux que cela cesse. Il est devenu comme une raison de vivre.

" Leave me alone. " Twenty One Pilots.

#Alleycat.

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2017-05-16T10:49:08+02:00
https://alleycat.journalintime.com/ca-fait-longtemps ça fait longtemps. Je ne sais même plus quand est-ce que je suis venue ici pour la dernière fois. Je l'avais complètement oubliée. Mais comment ais-je pu oublier cet endroit qui m'a tant apporté les jours où je n'étais pas bien? Les jours où tout me paraissait tristes et sans interêt? Je ne sais pas. En tout cas, je suis contente de revenir avec plus de joie que la dernière fois. La vie me sourit un peu plus en ce moment, la bonne humeur reprend sa place. Je viens de fêter les un an et trois mois avec mon copain, c'est bientôt Noël et je pars pour le nouvel an dans un château près de Versailles! Je ne sais même plus quand est-ce que je suis venue ici pour la dernière fois. Je l’avais complètement oubliée. Mais comment ais-je pu oublier cet endroit qui m’a tant apporté les jours où je n’étais pas bien ? Les jours où tout me paraissait tristes et sans interêt ? Je ne sais pas. En tout cas, je suis contente de revenir avec plus de joie que la dernière fois. La vie me sourit un peu plus en ce moment, la bonne humeur reprend sa place. Je viens de fêter les un an et trois mois avec mon copain, c’est bientôt Noël et je pars pour le nouvel an dans un château près de Versailles ! J’ai un copain génial, un travail qui me plaît, des bons retours de mes chefs… Pourtant, je sens toujours ce petit chagrin qui vient de temps en temps tout gâcher et me mettre le moral à zéro. Je ne sais pas ce qu’il fait encore là, mais je ne veux pas lui laisser encore une fois la place. C’est sans doute car je ne m’entend toujours pas avec mes parents. Toujours est-il que je reviens aujourd’hui pour une remise au point et remercier les personnes qui m’ont soutenu dans ma période noire (pas tout à fait partie). Vous me direz, il faut du temps. Beaucoup de temps.

" Le temps s’en va. Tout s’en va. Mais moi je reste là. "

    #Alleycat.
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2015-12-21T13:41:56+01:00
https://alleycat.journalintime.com/Pleurer-aide-a-moins-pisser-a-ce-qu-on-dit Pleurer aide à moins pisser à ce qu'on dit. J'ai pleuré. Comme jamais j'avais pleuré auparavant. J'ai pleuré devant ma mère, devant ma soeur, devant ma meilleure amie et devant mon copain. Je me sens comme une merde, mais qu'est-ce que ça fait du bien. J'ai tout avoué, tout ce que j'avais sur le coeur. Mon désespoir face à mon avenir, à mon manque d'envie et à mes pensées suicidaires. J'ai tout dit, j'ai rien caché. Et bizarrement quand tu l'as dit une fois, les fois suivantes sont plus faciles. Je ne sais pas ce qui m'a pris, peut-être parce que ma mère m'a poussé à bout encore une fois. C'était une grande engueulade, J’ai pleuré. Comme jamais j’avais pleuré auparavant. J’ai pleuré devant ma mère, devant ma soeur, devant ma meilleure amie et devant mon copain. Je me sens comme une merde, mais qu’est-ce que ça fait du bien. J’ai tout avoué, tout ce que j’avais sur le coeur. Mon désespoir face à mon avenir, à mon manque d’envie et à mes pensées suicidaires. J’ai tout dit, j’ai rien caché. Et bizarrement quand tu l’as dit une fois, les fois suivantes sont plus faciles. Je ne sais pas ce qui m’a pris, peut-être parce que ma mère m’a poussé à bout encore une fois. C’était une grande engueulade, où j’ai avoué que je voulais me suicider et j’ai claqué la porte. Je vis maintenant chez ma soeur depuis quelques heures pour une durée indéterminée. Je ne sais pas si je vais revenir. J’aimerais pouvoir rester. M’éloigner de ce qui me fait mal et ce qui nourris mes envies suicidaires. Pourtant, je sais que ce n’est pas la solution, la solution n’est pas de fuir, mais je n’en trouve pas trop. Si y’a des idées, je suis preneuse.
Je pense que ça va me faire du bien de passer un peu de temps chez elle, comme une pause. Loin d’eux. Loin de la souffrance et du sentiment d’être un monstre qui mérite que de mourir, je ne sais pas.
Suis-je une bonne personne ? Cette question tourne en boucle dans ma tête. Mes proches me disent que oui, j’en suis une, mais je n’ai pas l’impression qu’ils voient le vrai moi, celle qui veut montrer que ouais, elle peut être un monstre et pire que quiconque pense. Pourtant, je n’ai pas envie de donner cette image, comme celle que je n’ai pas envie de donner d’une fille suicidaire qui n’arrête pas de se lamenter.
Suis-je une bonne personne ?

    #Alleycat.
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2015-08-20T01:21:00+02:00
https://alleycat.journalintime.com/Egoiste-ou-lache Egoïste ou lâche? J'suis là sur mon lit et je pense à tout ce qui se passe dans ma vie en ce moment. C'est simple, je laisse tout tomber. Littéralement. Le code? J'ai laissé tombé. Pôle emploi? Je me suis laissée radier. Ma recherche d'entreprise? Je commence à ne plus vouloir chercher. Mon poste en tant qu'animatrice? Je ne sais pas si je vais y retourner. Et pour couronner le tout, j'ai une amende de 180 euros. Bitch. Ne pas payer deux euros et laisser une amende traîner peut coûter 180 euros, quelle société de merde. Je pense de plus en plus à la mort. Sans le vouloir en plus, c'est ça le pire J’suis là sur mon lit et je pense à tout ce qui se passe dans ma vie en ce moment. C’est simple, je laisse tout tomber. Littéralement. Le code ? J’ai laissé tombé. Pôle emploi ? Je me suis laissée radier. Ma recherche d’entreprise ? Je commence à ne plus vouloir chercher. Mon poste en tant qu’animatrice ? Je ne sais pas si je vais y retourner. Et pour couronner le tout, j’ai une amende de 180 euros. Bitch. Ne pas payer deux euros et laisser une amende traîner peut coûter 180 euros, quelle société de merde. Je pense de plus en plus à la mort. Sans le vouloir en plus, c’est ça le pire j’crois. J’y pense au moins trois fois par jour. Avant, je me disais que ceux qui s’en allait de cette façon n’étaient que des égoïstes et des lâches. Mais en fin de compte, je les comprend tellement. Quand on s’apprête à sauter dans la vide, on est pas égoïste. Justement, on veut épargner aux autres notre image d’épave de la vie ainsi que nos plaintes quotidiennes. On veut qu’ils gardent de nous un bon souvenir et non des lamentations. Etre lâche ? Voyons, tout ce qu’on veut c’est être libéré d’un poids énorme qui pèse sur le coeur et qui donne la gerbe toute la journée. Ce n’est pas être lâche, c’est ce donner le moyen de ne plus stresser, pleurer, avoir peur… Peur du futur. Je n’ai pratiquement aucun baguage et dans notre société actuelle, ne pas en avoir est pêché. Où trouver du travail ? A part être animatrice deux jours par semaine ? Mais le pire, c’est d’avoir peur de soi-même. De ne plus se reconnaître. D’être tout le temps énervé pour des conneries et ne plus pouvoir regarder ses parents en face, car on sait que ce n’était pas ce qu’ils attendaient de nous. Et du coup, ils nous dégoûtent. Dégoûté de voir que malgré le fait que je ne suis pas devenu comme ils le souhaitaient, ils me laissent glisser dans l’gouffre. Mais le problème, c’est que je n’ai pas envie de partir. Dans le sens où il y a encore pleins de choses que j’aimerais vivre : le bonheur d’être entre amis sur la terrasse d’un pub, partir à la campagne et voir le soleil se coucher, avoir un travail qui me plaît, faire l’amour… Encore et encore avec la personne que j’aime… Je crois que c’est lui qui me retient le plus. Parce que sans lui cette année, ça aurait été dur et je me demande souvent si je ne serais pas passé par la fenêtre s’il n’avait pas été là. C’est fort possible. Il est arrivé dans ma vie à un moment déterminant dans ma vie. Là où j’allais chuter et le destin m’a fait comprendre que ce n’était pas mon heure. Pas encore tout du moins.

" I falling, so I taking my time on my ride. ", Twenty one pilots.
EN PASSANT JE VOUS CONSEILLE DE L’ECOUTER, ELLE ME REMONTE LE MORAL COMME PAS POSSIBLE.

    #Alleycat.
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2015-08-17T21:21:40+02:00
https://alleycat.journalintime.com/Parce-que-je-suis-stupidement-conne Parce que je suis stupidement conne. Je l'ai vu, pourtant j'ai continué. Je te regardais, le visage plein de colère et de tristesse, t'accusant de choses absurdes. Je le savais, pourtant, je continuais. Et toi tu me fixais, le regard rempli d'incompréhension. Je voyais que tu étais perdu, que tu avais mal. Mais j'ai préféré continuer d'être une connasse. Je t'ai même dis que je voulais rentrer chez moi. Tu te rends compte ? Tu m'as même proposé de me raccompagner. Et j'ai dit oui. Je l'ai dis, mais je ne le pensais pas. Je voulais juste que tu me prennes dans tes bras. Pourtant je t'ai repoussé. Je t'ai déclaré que Je l’ai vu, pourtant j’ai continué. Je te regardais, le visage plein de colère et de tristesse, t’accusant de choses absurdes. Je le savais, pourtant, je continuais. Et toi tu me fixais, le regard rempli d’incompréhension. Je voyais que tu étais perdu, que tu avais mal. Mais j’ai préféré continuer d’être une connasse. Je t’ai même dis que je voulais rentrer chez moi. Tu te rends compte ? Tu m’as même proposé de me raccompagner. Et j’ai dit oui. Je l’ai dis, mais je ne le pensais pas. Je voulais juste que tu me prennes dans tes bras. Pourtant je t’ai repoussé. Je t’ai déclaré que tu ne m’aimais pas assez, que tu avais honte de moi, que tu ne me faisais plus de câlins. Je sais que j’ai été trop loin, car tout cela n’était que mensonges. On s’est disputé pour des broutilles, des conneries. Je le savais pertinemment, mais je ne voulais pas l’avouer. Par fierté peut-être. Toujours est-il qu’à mesure qu’on se rapprochait de la voiture et du point de non retour en arrière, tu essayais de me retenir. Pourquoi j’ai été comme ça ? Aussi méchante à faire poindre les larmes aux bords de tes yeux ? Et là tu m’as pris fermement par les hanches et tu m’as dis que tu tenais à moi et que tu ne voulais pas me perdre. Je t’ai serré dans mes bras. D’un coup, une pulsion. C’est tout ce dont j’avais besoin d’entendre. Pourtant, tu le dis tout les jours que tu m’aimes. Pourquoi à ce moment précis en avais-je besoin ? Alors je t’ai serré comme on serre une bouée de sauvetage. Je ne voulais plus te lâcher. Je voulais que tu restes près de moi pour toujours. Sentir ta chaleur réconfortante à jamais. J’ai juste peur de te perdre, que tu t’en ailles. J’ai si peu de confiance en moi, que je me dis que tu trouveras plus belle, plus gentille, moins chiante et plus drôle. Et c’est ma manière de résister à ce sentiment de peur. De te repousser. Je ne sais pas pourquoi. Je culpabilise quand je le fais, mais je ressens le besoin de temps en temps de t’en vouloir pour une raison idiote. C’est méchant, voir cruel. Mais j’en ai réellement besoin que de t’accuser pour une chose infime. Je sais que c’est comme ça que je vais te perdre, mais je le fais tout de même. Pourtant, tout de ce que je veux, c’est vivre un réel conte de fée avec toi. Et c’est à ce moment, lorsque je t’ai serré dans mes bras que tu as relevé mon visage où perlait des larmes que tu m’as dis que j’allais encore devoir te supporter très longtemps. Et à travers mes larmes je t’ai sourie. Je t’ai sourie d’un sourire plein d’espoir.

    #Alleycat
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2015-06-15T11:52:00+02:00
https://alleycat.journalintime.com/Parlons-bien-parlons-d-Amour Parlons bien, parlons d'Amour. Voilà huit mois que je suis avec lui et mon univers respire de bonne humeur. Cela ne fait pas si longtemps que cela, mais j'ai l'impression de le connaître depuis tellement longtemps. Il commence lentement à faire partie de moi, même si je reste sur mes gardes concernant le futur, je ne peux m'empêcher de croire que notre histoire ira loin. Nous nous ressemblons sans pourtant avoir tant de points communs que ça. Nous avons chacun notre personnalité et c'est ça qui est intéressant, on peut tellement apprendre de l'autre, de nouvelles choses, de nouvelles perspectives, des points de Voilà huit mois que je suis avec lui et mon univers respire de bonne humeur. Cela ne fait pas si longtemps que cela, mais j’ai l’impression de le connaître depuis tellement longtemps. Il commence lentement à faire partie de moi, même si je reste sur mes gardes concernant le futur, je ne peux m’empêcher de croire que notre histoire ira loin. Nous nous ressemblons sans pourtant avoir tant de points communs que ça. Nous avons chacun notre personnalité et c’est ça qui est intéressant, on peut tellement apprendre de l’autre, de nouvelles choses, de nouvelles perspectives, des points de vue différents. Il fait souvent ressortir le meilleur de moi même et à chacun de ses regards, je ressens quelque chose, comme si il essayait de me transmettre quelque chose. Ses yeux verts-bleus que je pourrais contempler des heures. Ses petites attentions me font fondre sans qu’il ne s’en rende compte, je crois que c’est une des choses qui me font le plus craquer chez lui. Lorsqu’il remet mon sweet à l’endroit et me le met devant moi pour que ce soit moins long pour moi de le mettre, qu’il m’aide lorsque je n’arrive pas à boire le reste de ma boisson de Mc Do avec ma paille et qu’il la pivote pour que je puisse boire, qu’il m’entoure de ses bras lorsque j’ai froid et qu’il rajoute la couette par-dessus pour que je ressemble à un burrito, lorsqu’il s’occupe de moi lorsque je suis complètement malade et cloué au lit. Qu’il souffle sur mon thé lorsqu’il est trop chaud. Quand il me suit dans mes conneries alors qu’on s’est pertinemment que c’est de la merde. Aussi quand il accepte de regarder des Disney sans broncher alors que je sais qu’il n’a pas forcément envie. Quans il me rassure pendant une heure à 4h du matin lorsque j’ai fais un cauchemar horrible. Puis, à côté de tout cela, il y a ses petites choses qui me rendent folle comme par exemple quand il met des chansons que je déteste et que ça le fait rire, quand il me parle de Games of throne alors que je n’aime pas du tout cette série. Quand il chante faux tout près de mes oreilles. Mais quand il me fait l’Amour.... Tout s’effondre, il n’y a plus rien autour de nous à part lui et moi. C’est doux, sensuel et passionné, je ne peux détacher mes mains de son corps, je suis avide de son toucher. Personne ne m’a fait ressentir cela jusqu’à présent et je trouve cela tellement troublant. Mais ma peur est toujours là, la peur que ça s’arrête. Et c’est à ce moment que j’aimerai que les aiguilles de l’horloge s’arrêtent, mais elles continuent de tourner dans ce bruit agaçant et incessant. Tic, tac, tic, tac…

    #Alleycat.
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2015-05-05T00:30:51+02:00
https://alleycat.journalintime.com/La-route-des-songes La route des songes. Depuis peu, des idées sombres traversent mon esprit. J'ai de plus en plus envie de partir loin d'ici. Je ne parle pas d'aller dans d'autres pays, de visiter des monuments et changer d'air. Je pars de réellement partir, littéralement, physiquement. Oui, j'ai des envies de suicide. Je me perds un peu dans l'être humain. Il y a tellement d'hypocrisie, des " je t'aime " lancés comme des prospectus, sans qu'on ne les pense vraiment. Tellement d'égoïsme dans les coeurs si bien qu'on marcherait sur le cul d'à côté pour s'élever. Tellement de cupidité, de mensonges, de trahisons... Depuis peu, des idées sombres traversent mon esprit. J’ai de plus en plus envie de partir loin d’ici. Je ne parle pas d’aller dans d’autres pays, de visiter des monuments et changer d’air. Je pars de réellement partir, littéralement, physiquement. Oui, j’ai des envies de suicide. Je me perds un peu dans l’être humain. Il y a tellement d’hypocrisie, des " je t’aime " lancés comme des prospectus, sans qu’on ne les pense vraiment. Tellement d’égoïsme dans les coeurs si bien qu’on marcherait sur le cul d’à côté pour s’élever. Tellement de cupidité, de mensonges, de trahisons… L’être humain n’est plus ce qu’il était, il vit avec plus qu’il n’en faut et se plaint de ne pas avoir assez. Si aujourd’hui on a pas assez, c’est qu’on a trop gaspillé. Le monde part en vrille et rien ne peut l’arrêter. On en est tous témoins et on le regarde s’effondrer comme on regarderait un film au cinéma. L’humanité a disparut depuis belle lurette, on essai de le concrétiser par des métiers du social et de la santé. Il n’y a plus de générosité, c’est chacun pour sa gueule et puis je t’en merde. Vous me direz : tu ne connais pas ton avenir, tu es encore jeune, qui sait ce que l’avenir te réserve ? A ce moment, on parle d’espoir. L’espoir fait vivre. Mais à l’heure actuelle, l’espoir est mort depuis bien longtemps, ce n’est qu’un fantasme. Ce ne sont pas des arguments tangibles et solides qui me pousseront à garder pieds sur Terre. C’est juste des putains d’hypothèses positives sans fondement qui s’écrouleront à la minute où je verrais une chose abominable. Oui, car j’en vois tout les jours. Des choses qui me donne la nausées, il suffit de voir ma putain de génération ratée. Aussi, il suffit d’allumer sa télévision pour en voir. Il ne faut pas vivre à travers la télévision me direz-vous, ça ne raconte souvent que des cracks et ça en fait trop. Cependant, même sans la télévision, le monde est horrible. Terrorismes, animaux tués, enfant soldats, malbouffe, morts, être robotiser,... Et tant d’autres. Tant d’ignorance sur l’importance des sentiments, de l’humanité. Tant de mépris pour les personnes différentes de nous. Tant de peur dès qu’on sort tard de chez soi la nuit. Trop d’inconscience lorsqu’on laisse notre assiette remplie. La vie c’est le présent. Avant que je naisse, il n’y avait rien, après que je serais partit, il n’y aura rien. Il n’y a pas de vie après la mort. Rien qu’un trou noir. Rien qu’un corps qui se décompose. Le cerveau ne fonctionne plus, le coeur non plus. Rien. Nada. Ce n’est qu’un corps sachant bouger, marcher, sourire, parler, pleurer, apprendre et inventer. Sans le fonctionnement, il n’est rien qu’une enveloppe charnel. Un véhicule. La vie c’est le présent. Le passé c’est trop tard et le futur et trop difficile à cerner, pour le moment, il ne sert pas à grand chose. Alors à quoi bon vivre quand ton présent est merdique ?
Qu’est-ce que vous me dîtes ? Qu’il faut se battre ? Mais se battre pour quoi en fait ? Pour essayer de changer le monde de mes petites mains. Impossible, les gens s’en foutent, ils ne veulent pas changer le monde. Ou peut-être une poignée. On ne peut pas changer le monde à 20. Ils ne feront rien pour le changer, ils ne nous écouteront pas : ils ont signés un pacte avec le Diable. Alors je vais changer le mien, là-dessus : ils n’ont aucun pouvoir. Et ils ne feront rien pour m’en empêcher. Car ils s’en foutent si je me jette par la fenêtre.
C’est la seule liberté qui me reste et j’en fais ce que je veux, quand je veux. Si je peux au moins contrôler quelque chose : laissez-la moi.
Ce n’est pas un acte égoïste, les personnes m’aimant autour de moi me voit tel que je vous le décris. Comme une personne n’aillant plus d’énergie pour affronter le monde et qui en sait beaucoup trop. Une personne fatigué et triste. Je veux leur épargner cette vision si peu optimiste que je n’arrive pas à changer depuis tellement de temps.

    #Alleycat.
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2015-03-23T12:34:08+01:00
https://alleycat.journalintime.com/Nulle-cause-nest-perdue-sil-y-a-encore-un-pauvre-fou-pret-a-se-b Nulle cause n’est perdue... s’il y a encore un pauvre fou prêt à se battre pour elle. Parfois, je n'aimerai vraiment pas être à ma place, mais bon, je n'ai pas trop le choix. Je me couche le soir en me demandant ce qui va m'arriver le lendemain, comme tout le monde je présume. Je me rend compte au fil du temps que ma vie est vraiment banale, pourtant je ne fais rien pour y remédier. Je passe ce concours pour rentrer dans une école qui coûte la peau des fesses, je vais commencer le code et je vais passé mon dernier stage pour avoir le BAFA. Le reste du temps, je suis avec mes amis, je suis chez moi ou avec mon copain. En fait, c'est le seul qui me fait sortir de cette Parfois, je n’aimerai vraiment pas être à ma place, mais bon, je n’ai pas trop le choix. Je me couche le soir en me demandant ce qui va m’arriver le lendemain, comme tout le monde je présume. Je me rend compte au fil du temps que ma vie est vraiment banale, pourtant je ne fais rien pour y remédier. Je passe ce concours pour rentrer dans une école qui coûte la peau des fesses, je vais commencer le code et je vais passé mon dernier stage pour avoir le BAFA. Le reste du temps, je suis avec mes amis, je suis chez moi ou avec mon copain. En fait, c’est le seul qui me fait sortir de cette banalité et je me rend compte au fur et à mesure qu’il m’apporte beaucoup et qu’il va encore beaucoup m’apporter. J’arrive à voir son point de vue et souvent, ma vision de voir les choses changent grâce à lui. Son air serein et un tantinet enquiquineur me fait craquer, et j’ai toujours peur que ça s’arrête. Cela va faire cinq mois qu’on est ensemble (un début me direz-vous). Cependant, j’ai l’impression que mes sentiments sont de plus en plus forts, qu’ils ne faiblissent pas comme ça pourrait le faire dans une relation. De jour en jour et de mois en mois, je tombe un peu plus amoureuse de lui. Peut-être que je suis trop fusionnelle comme on me l’a déjà dit, je ne sais pas. Mais ça me fait peur dans le sens où je suis plutôt de nature à me protéger, à ne pas m’attacher. Mais, avec lui c’est différent, je veux aller loin avec lui, je ressens le besoin de le voir, de le toucher. Quand je pense qu’on ne va pas se voir pendant 4 semaines me terrifient, c’est beaucoup trop long. J’aime quand il essai de me faire rire quand il voit que je boude un peu ou que je suis fatigué. Qu’il me fait des guillis parce qu’il sait que je suis sensible à ça. J’aime toute les petites attentions qu’il me porte et j’ai l’impression qu’il prend soin de moi en sachant que je peux me débrouiller toute seule. Il est vraiment une personne qui est arrivé au bon moment dans ma vie et qui m’apporte beaucoup de bonheur.
Ensuite, il y a mon père : il est venu s’excuser, une première. Je ne sais plus vraiment comment réagir après ça. Surtout que je l’ai vu pleurer en me disant qu’il regrettait tout ce qu’il m’avait fait subir. Je ne sais pas quoi penser, je ne sais pas vraiment aussi si je vais lui pardonner. ça fait déjà quelques semaines, ça traîne cette histoire, mais c’est encore un sujet sensible.
Pour finir, j’ai vu des amis que je n’avais pas vu depuis longtemps, et je crois que ça m’a vraiment fait du bien, c’est ce dont j’avais besoin pour sortir de ma torpeur.
Vous me direz, tout va bien. Cependant je démarque un point : a quoi cela sert réellement tout cela ? A chercher du travail, se poser des questions en Amour et quelques fois en souffrir ? Avoir des amis de passage que vous êtes sûrs de ne pas revoir d’ici quelques années ? A quoi ça sert tout ça en sachant ce qui nous attend tous : le trou.

" Et alors il s’est passé quelque chose, je me suis laissé aller, dans un total oubli de moi même envahi par la nuit le silence et la plénitude. J’avais trouvé la liberté. Perdre tout espoir, c’était cela la liberté. " Fight Club.

    #Alleycat.
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2015-02-18T01:08:06+01:00
https://alleycat.journalintime.com/Desespoir-desespoir-pourquoi-ne-me-quittes-tu-pas Désespoir, désespoir, pourquoi ne me quittes-tu pas? Cela fait plusieurs jours que je ressens comme une pierre lourde au milieu de mon abdomen. Une pierre qui rend ma gorge sèche et froide. J'ai toujours envie de pleurer sans raison, je m'éffondre dans ma baignoire à l'abris des regards pour faire couler mes larmes. Même les musiques les plus entraînantes qui passent à la radio n'arrivent pas à me consoler. Pourtant, je ne crois pas que j'ai besoin d'être consoler. Je n'ai rien et c'est bien ça le pire. Ca a commencer par de la peur, la peur de le perdre, peut-être parce que j'ai dit quelque chose qu'il ne fallait pas ou parce que Cela fait plusieurs jours que je ressens comme une pierre lourde au milieu de mon abdomen. Une pierre qui rend ma gorge sèche et froide. J’ai toujours envie de pleurer sans raison, je m’éffondre dans ma baignoire à l’abris des regards pour faire couler mes larmes. Même les musiques les plus entraînantes qui passent à la radio n’arrivent pas à me consoler. Pourtant, je ne crois pas que j’ai besoin d’être consoler. Je n’ai rien et c’est bien ça le pire. Ca a commencer par de la peur, la peur de le perdre, peut-être parce que j’ai dit quelque chose qu’il ne fallait pas ou parce que j’avais fait quelque chose de déplaisant. J’avais l’impression que son regard avait changé, plus sombre, plus triste. Triste pourquoi ? Tristede me rendre triste ? Alors, le stress a commencé à s’installer. Déjà dû à cette situation, par peur qu’il s’en aille et aussi à cause de mon concours pour rentré dans l’école, le BTS.. Ça fait six mois que je glande chez moi, a apprendre par coeur mes fiches, vais-je réussir ? Je n’arrête pas de me ronger les ongles, je mange moins.. A part quand il est là… Il me donne de l’assurance et m’aide à tout oublier, à juste penser à nous. Cependant, la peur de le perdre est toujours présente. C’est comme un cercle vicieux qui ne cesse de se répéter. J’aimerais qu’il me prenne dans ses bras, qu’il me dise qu’il m’aime et qu’il enlève cette si lourde pierre au milieu de mon abdomen qui me fait pleurer en ce moment même, en écrivant ses mots. Je veux qu’il m’embrasse le front comme la première fois qu’on s’est vu, pour me protéger. Je veux sentir sa chaleur réconfortante, comme lorsque je m’endors dans ses bras… La relation avec mes parents empire, j’ai l’impression d’être en faute, de tout faire mal avec eux, d’être méchante et cinglée. Ils me donnent l’impression d’être cinglée avec leurs reproches, leurs pics. Surtout mon père. Il pense que je ne vaux rien et que je pense qu’à l’énerver. C’est assez compliqué à comprendre. En fait, on est tout les deux parano… On analyse le moindre geste de l’autre, la moindre parole et on tourne tout ça dans un univers malsain, répétant que ce qu’on vient de faire ou de dire est mal, alors que ça peut être tout simplement anodin. La dernière fois, j’ai remis une chaise en-dessous de la table et il a dit " ne t’en prend pas à la chaise, elle t’a rien fait. ", je lui ai répondu " je l’a remettais juste en place " il a riposté en sifflant " il n’y a pas qu’elle qu’il faudrait remettre en place. " A ce moment, une colère sourde s’est emparée de moi et j’ai voulu lui dire des choses blessantes, j’ai voulu qu’il souffre jusqu’à le pousser à bouts, jusqu’à ce qu’il s’énerve et qu’on s’engueule pour extériorisé. Extériorisé toute la haine qu’on a à l’intérieur de nous, la haine de notre situation actuelle. La seule personne qui me donne un rayon d’espoir, c’est lui et j’ai comme l’impression qu’il est en train de se cacher derrière les nuages. Ce n’est qu’une impression après tout. Il me soutient que je me fais des films, qu’il m’aime, que je lui manque et qu’il aimerait passé ses journées avec moi. Mais alors, pourquoi je continue d’avoir peur ? Est-ce que je l’aime trop et ça me bouffe ? Et pourquoi m’adresse-t-il ce regard si triste ? Je suis perdu dans ce cercle vicieux.

" Je n’ai pas peur de prendre position, vous tous, venez prendre ma main, nous parcourrons cette route ensemble, à travers la tempête. Peu importe le temps, froid ou chaud, juste vous faire savoir que vous n’êtes pas seuls. Criez si vous sentez que vous avez été sur la même route. Ouais, ça été un parcours, je suppose que je devais passer par là pour arriver là où je suis. Maintenant certains d’entre vous pourraient toujours être en cet endroit. Si vous essayez de sortir, suivez moi, je vous en sortirai. " Not Afraid, Eminem.

    #Alleycat.
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2015-01-23T20:22:00+01:00
https://alleycat.journalintime.com/C-est-la-premiere-fois-pour-moi-que-tes-yeux-me-font-boom C'est la première fois pour moi que tes yeux me font boom. Cela va bientôt faire 3 mois que je suis avec #A. Je n'aurais jamais cru qu'il y aurait eu quelque chose entre nous, mais plus le temps passe, plus je me rend compte que les papillons dans mon ventre ne sont pas là par hasard. A chacun de ses regards, de ses sourires, de ses caresses mon corps réagi. Soit je lui souris, soit je le regarde dans les yeux, soit je l'embrasse. Quand il passe ses mains sur mon ventre, je ferme les yeux et respire profondément. Ça me fait peur, mais je ne veux pas que ça s'arrête. Et je viens de me rendre compte que c'est ça mon problème " et si ça Cela va bientôt faire 3 mois que je suis avec #A. Je n’aurais jamais cru qu’il y aurait eu quelque chose entre nous, mais plus le temps passe, plus je me rend compte que les papillons dans mon ventre ne sont pas là par hasard. A chacun de ses regards, de ses sourires, de ses caresses mon corps réagi. Soit je lui souris, soit je le regarde dans les yeux, soit je l’embrasse. Quand il passe ses mains sur mon ventre, je ferme les yeux et respire profondément. Ça me fait peur, mais je ne veux pas que ça s’arrête. Et je viens de me rendre compte que c’est ça mon problème " et si ça s’arrête ? " je ne veux en aucun cas que cela se termine. Il est si doux, intentionné, drôle, prévenant. Il prend soin de moi, il s’occupe de moi comme si j’étais une petite chose fragile, mais tout en sachant que je peux être forte. Il m’estime pour ce que je suis, il ne me juge pas. Peut être que 3 mois c’est un peu tôt pour tomber amoureuse, mais je suis vraiment tombé sous son charme et je ne veux pas que ça s’arrête. Chaque minute passée avec lui est précieuse. Les heures avec lui passent trop vite. Son odeur, sa chaleur : je ne peux pas m’en passer. Et ça fait encore plus peur " je ne peux pas m’en passer " je n’aime pas être dépendante de quelqu’un, de quelque chose. Je ne suis pas comme ça, ce n’est pas dans mon caractère. Mais je ne veux pas que cette dépendance parte. C’est un peu comme un mal qui fait du bien. Je fond à chacun de ses baises, comme si à chaque fois, c’était la première fois qu’on s’embrassait. C’est quelque chose d’enivrant, une espèce de drogue dont je ne peux me passer s’en m’en rendre vraiment compte. Je ne pense à rien quand je suis avec lui, on passe notre temps à inventer des histoires, à rire, à dire ce qu’on fera demain, à chanter en sautant partout, à faire le dialogue de conversation qu’on entend pas… Il est un tout. Il est un peu comme moi. Il est un peu ma perfection au masculin depuis que je le connais. ça peut paraître nian-nian et peut-être que ça l’est. Mais c’est mon nian-nian et je suis bien dedans et je ne veux pas que ça s’arrête, pour rien au monde.

" Comme un garçon, j’ai le coeur qui fait boom et les cheveux longs. BOOM BOOM BOOM BOOM BOOM… "
Lola, Superbus.

    #Alleycat.
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2014-12-17T14:39:53+01:00
https://alleycat.journalintime.com/Je-ne-te-decrocherais-pas-la-Lune Je ne te décrocherais pas la Lune. Ton sourire. C'est ce que je vois en premier lorsque je regarde ton visage. Ensuite, ce sont tes jolis yeux gris en forme d'amende qui me font sourire en retour. Tes cheveux noirs en bataille me donne envie de passer mes doigts dans ceux-ci. Qu'en est-ce que j'ai commencé à vraiment t'apprécier? Je ne pourrais te le dire. Je suis passé par des amourettes sans lendemain, à des rêves inachevés, à des espoirs perdus d'avance avant de te rencontrer. Tu es apparu à un moment de ma vie où je me suis dit qu'il n'y avait plus d'espoir, plus de possibilité de liberté et de bonheur. Ton sourire. C’est ce que je vois en premier lorsque je regarde ton visage. Ensuite, ce sont tes jolis yeux gris en forme d’amende qui me font sourire en retour. Tes cheveux noirs en bataille me donne envie de passer mes doigts dans ceux-ci. Qu’en est-ce que j’ai commencé à vraiment t’apprécier ? Je ne pourrais te le dire. Je suis passé par des amourettes sans lendemain, à des rêves inachevés, à des espoirs perdus d’avance avant de te rencontrer.
Tu es apparu à un moment de ma vie où je me suis dit qu’il n’y avait plus d’espoir, plus de possibilité de liberté et de bonheur. J’étais au plus bas. Puis, je t’ai vu, avec ton aura blanche autour de toi, ton sourire et ta main tendue vers moi. Je l’ai saisie.
Tu m’as pris dans tes bras alors que je ne m’y attendais pas, tu m’as embrassé le front et tu m’as dit que tu me protégerais. Un sourire est apparu sur mes lèvres. C’était un rêve éveillé.
Tout s’est déroulé naturellement, c’était perturbant comme c’était une bouffée de bonheur.
Tu m’as fait rire avec tes expressions, tes mimiques, tes grimaces. Et doucement j’ai commencé à danser dans tes yeux pleins de vie.
Tu ne le sais pas encore, je ne te l’ai jamais dit, mais tu m’as tellement aidé, je t’en serais toujours reconnaissante.
C’est bête comme une personne peut nous sortir d’une détresse. Comme si cette personne était tombé au bon moment, comme si tout était déjà calculé d’avance.
Tu as croisé mon chemin et je voudrais le construire petit à petit avec toi, pour une durée indéterminée.
Après tout, je suis aussi une humaine, c’est dans ma nature d’espérer et de rêver. Je trouve que ces deux verbes se ressemble, pas toi ?
Alors, je te demanderais qu’une chose : reste.
Reste car j’ai vraiment besoin de toi, c’est la première fois que je dis que j’ai vraiment besoin de quelqu’un.
Je ne pourrais pas te dire jusqu’où j’aurais besoin de toi, mais je peux te dire qu’un tourbillon émotionnel m’entoure quand je pense à toi et ce genre d’émotions ne s’en vont pas facilement.
Tu es un peu comme ma Terre promise. Là où je me repose, je veux être dans ton atmosphère, dans ta vie. Laisse-moi y faire ma place.
Tes yeux m’électrisent et quand tu me dis les quelques mots qui me font rougir, je ne veux plus personnes sur la planète à part toi et moi et que cette journée dure pour qu’on n’en fasse jamais le tour.
J’ai toujours trouvé l’Amour abrutissant, niais et quelques fois hypocrite. Mais j’avais sans doute oublier le sentiment de bien être qu’il nous procuré, de plénitude et j’avais sans doute aussi oublier les milliers de papillons qui envahissaient notre ventre.

" Je pris chaque soir pour que jamais ça ne cesse, je me plais à croire que jamais la tristesse ne se fera voir ou ne se fera tigresse, mais je ne te décocherais jamais la Lune, ce n’est pas assez pour toi. Je ne t’offrais pas le Soleil, je veux te voir dans ses éclats. " Femme, Dar-k.

    #Alleycat.
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2014-10-16T01:00:00+02:00
https://alleycat.journalintime.com/A-nos-vies-de-merde-dans-ce-monde-de-merde-qui-tire-a-sa-fin À nos vies de merde, dans ce monde de merde, qui tire à sa fin. Je reviens de Crète. Et je dois dire que c'était formidable. J'ai rencontré de nouvelles personnes juste formidables avec qui je garderais de bons souvenirs. Qu'est-ce que ça fait du bien de voir des nouvelles têtes. Pendant ces quelques jours c'était une deuxième famille. On était ensemble et on pouvait compter les uns sur les autres. Nous étions une trentaine. Je pense que la chose dont je me souviendrais toujours ce sont leurs rires. Qu'est-ce que j'ai pu rire avec eux. Je n'ai pas beaucoup vu le paysage de Crète, dormant la journée et vivant la nuit, si bien qu'on m'appeler le Je reviens de Crète. Et je dois dire que c’était formidable. J’ai rencontré de nouvelles personnes juste formidables avec qui je garderais de bons souvenirs. Qu’est-ce que ça fait du bien de voir des nouvelles têtes. Pendant ces quelques jours c’était une deuxième famille. On était ensemble et on pouvait compter les uns sur les autres. Nous étions une trentaine. Je pense que la chose dont je me souviendrais toujours ce sont leurs rires. Qu’est-ce que j’ai pu rire avec eux. Je n’ai pas beaucoup vu le paysage de Crète, dormant la journée et vivant la nuit, si bien qu’on m’appeler le vampire. On faisait nuit blanche sur nuit blanche et c’était le rêve. J’ai dansé, j’ai ris, j’ai bu, j’ai fumé, et c’est fou ce que ça fait du bien de relâcher la pression avec des gens qu’on connait à peine. Le jour le plus mémorable sera le jour de mon anniversaire, le 5 août. Ils m’ont tous souhaités mon anniversaire en chantant la chansons. Une trentaine de personnes en face de moi qui chantaient cette chanson qui m’était destiné. J’ai pleurer. Comme une merde, je l’avoue. Et c’était magique. Je garderais toujours un très bon souvenir d’eux. C’était jusqu’à présent mais plus belles vacances. Téa le vampire, Zack le Loup-Garou, Toun’s, Rulia, Guigui la piscine de bière, No problemo Marge : Bobby ne vous oubliera jamais. Vous étiez les meilleurs. Peace.
" - Écoute j’suis pas… j’suis pas très doué pour les adieux alors… « Ça c’est un bon cochon »... - C’est vraiment le pire au revoir que j’ai entendu. Et en plus c’est une réplique de film. " , Bievenue à Zombieland.

    #Alleycat.
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2014-08-18T13:33:35+02:00
https://alleycat.journalintime.com/Je-suis-allee-a-Villers-sur-Mer Je suis allée à Villers-sur-Mer. Il y avait un peu de vent, mais c'était agréable. ça changeait de l'air néfaste et pollué de Paris. C'était frais et ça sentait la mer. Mon hôtel se trouvais juste en face de celle-ci. Et le soir, seule, je m'aventurais près de la plage, écoutant le bruit des vagues. Je m’asseyais quand j'en avais marre de marcher et je restais là quelques minutes, voir une heure. Je regardais la mer, me concentrer sur le bruit des vagues, méditant, pour oublier tout les tracas de la vie. J'ai vu un coucher de soleil un soir: entre la couche de nuages et la mer. Il était rouge-rose fluorescent, Il y avait un peu de vent, mais c’était agréable. ça changeait de l’air néfaste et pollué de Paris. C’était frais et ça sentait la mer. Mon hôtel se trouvais juste en face de celle-ci. Et le soir, seule, je m’aventurais près de la plage, écoutant le bruit des vagues. Je m’asseyais quand j’en avais marre de marcher et je restais là quelques minutes, voir une heure. Je regardais la mer, me concentrer sur le bruit des vagues, méditant, pour oublier tout les tracas de la vie. J’ai vu un coucher de soleil un soir : entre la couche de nuages et la mer. Il était rouge-rose fluorescent, il faisait mal aux yeux, mais il était merveilleux. Je l’ai vu arrivé et je l’ai vu se faire engloutir par la mer. C’était magnifique et magique. J’ai bien aimé ce moment, bercé par la mer et la mélodie aux touches de reggae que je chantonnais. C’était un bon week-end, coupé de tout, ne pensant plus à rien qu’au fait qu’une brise légère caressait mes joues.

    Malheureusement, il fallait revenir à Paris. Et la nostalgie m’a prise d’un coup. La douleur et la souffrance aussi. D’un coup, comme ça, sans que je m’en rende compte. Les ennuis ont recommencés… Les cris et les pleures ont commencés à se manifester aussi. J’étais revenue dans le calvaire qu’était ma vie familial. Et j’ai dû voir encore une fois ma mère pleurée, secouée par le caractère de mon père. Je n’en peut plus, renvoyez-moi là-bas, faîtes-moi oublier ce visage baigné de larmes. Il me hante jour et nuit et en cet instant je n’ai qu’une envie : me faire engloutir par la mer comme le soleil, mais contrairement à lui, je ne veux pas revenir.

" Des ailes pour se libérer, se délaisser des erreurs passées… Prends ma main pour te hisser, pour t’élever tu sais sur qui t’appuyer. Mon amour t’apportera : des racines et des ailes. Je ferais toujours rayonner le soleil pour toi, dans la nuit noir tu pourras compter sur moi. " Broussaï.

    #Alleycat.
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2014-07-14T23:06:00+02:00
https://alleycat.journalintime.com/Une-serie-de-gros-mots Une série de gros mots. Putain de bordel à chiasse de mes deux. Salope de casse-noisette de putain de merde de balai de chiottes de mes ovaires. Lutin de Merle! Mongolien de graines de pécan mélanger à de la bouse de vache en rute, sacrebleu! J'ai eu mon BAC, les amis. Fallait bien que quelqu'un le dise, je me suis portée volontaire. (Mais entre nous... Nous savons que ce n'est qu'une formalité, n'est-ce pas?...) " Du jour où vous créez un diplôme, un contrôle bien défini, vous voyez aussitôt s’organiser en regard tout un dispositif non moins précis que votre programme, qui a pour but unique Putain de bordel à chiasse de mes deux. Salope de casse-noisette de putain de merde de balai de chiottes de mes ovaires. Lutin de Merle ! Mongolien de graines de pécan mélanger à de la bouse de vache en rute, sacrebleu !

J’ai eu mon BAC, les amis.

Fallait bien que quelqu’un le dise, je me suis portée volontaire.

(Mais entre nous… Nous savons que ce n’est qu’une formalité, n’est-ce pas?...)

" Du jour où vous créez un diplôme, un contrôle bien défini, vous voyez aussitôt s’organiser en regard tout un dispositif non moins précis que votre programme, qui a pour but unique de conquérir ce diplôme par tous moyens. Le but de l’enseignement n’étant plus la formation de l’esprit, mais l’acquisition du diplôme, c’est le minimum exigible qui devient l’objet des études. Il ne s’agit plus d’apprendre le latin, ou le grec, ou la géométrie. Il s’agit d’emprunter, et non plus d’acquérir, d’emprunter ce qu’il faut pour passer le baccalauréat. " Paul Valéry, Le bilan de l’intelligence (1935), in Variété, Œuvres, t. 1, Gallimard, Pléiade, p. 1076.

    #Alleycat.
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2014-07-04T16:21:00+02:00
https://alleycat.journalintime.com/Fallait-mani-mani-manier-mieux-la-nuit-man-arrete-l-alcool-tu-de Fallait mani-mani-manier mieux la nuit man. Dimanche je me suis prit une cuite. Cela faisait longtemps que je n'en avais pas prit une. Avec les examens du BAC, le stress pour l'année prochaine et la vie familiale qui me bouffe de plus en plus, je n'avais pas eu vraiment le temps de bien me bourré la gueule comme il faut. Je suis allée à une soirée avec ma meilleure amie et je me suis retrouvé avec des gens que je connaissais plus ou moins. On s'est mis dehors, sur des canapés et on avait fait tourner les bouteilles. J'ai commencer avec une bière. Puis deux. Puis pourquoi pas une troisième. Jusque-là, rien de vraiment Dimanche je me suis prit une cuite. Cela faisait longtemps que je n’en avais pas prit une. Avec les examens du BAC, le stress pour l’année prochaine et la vie familiale qui me bouffe de plus en plus, je n’avais pas eu vraiment le temps de bien me bourré la gueule comme il faut. Je suis allée à une soirée avec ma meilleure amie et je me suis retrouvé avec des gens que je connaissais plus ou moins. On s’est mis dehors, sur des canapés et on avait fait tourner les bouteilles. J’ai commencer avec une bière. Puis deux. Puis pourquoi pas une troisième. Jusque-là, rien de vraiment intéressant, je regarde les gens autour de moi qui rient, mais moi je préfère être spectatrice, je ris intérieurement ou sourit lorsque c’est vraiment drôle. Les gens me regardent et ne me comprennent pas, ils sont tous bien habillé, sophistiqué. J’ai mis un sarouel avec un long tee-shirt et des baskets. Seuls ce que je connais ne me regarde pas bizarrement, ils savent comment je suis et qui je suis. On me passe la bouteille de Tequila, pourquoi pas ? Je me verse un verre avec du jus d’orange, le boit en quelques secondes. La Tequila ne m’a jamais fait grand chose. Du coup je m’en verse deux autres. Une fille vient près de moi, elle s’appelle Anaïs, j’adore ses cheveux. Sa crinière rousse et bouclée me fait penser bizarrement au dessin animé " Rebelle ", son teint blanc me fait pensée à un vampire et ses yeux bleus à celui d’un loup. Son air un peu rock lui va très bien, en bref : elle est belle. On commence à rire de n’importe quoi, elle me dit que ces cheveux c’est des lianes où des moucherons se balanceraient. Elle me fait rire, je rit vraiment avec elle. On passe une bonne partie de la soirée à rire en s’enfilant quelques bières. Puis, la bouteille de despé tourne et on joue au : qui n’a jamais ? Je suis a côté de ma meilleure amie. Elle est faite, plus rien de ce qu’elle dit n’est rationnelle. Moi ? Je tient plutôt bien l’alcool, bizarrement, ça me donne juste l’effet d’être plus légère et ça me fait oublié les problèmes. Je rit un peu, mais pas plus que d’habitude. Tout le monde me demander comment je faisais pour tenir autant avec tout ce que j’ai bu et pissé ? Eh, bien j’en sais rien. Je tient c’est tout. Anaïs en face de moi commence à rouler un joint. Ah ! Là ça devient intéressant. Je tire quelques barres. Il n’est pas chargé. Beurk, c’est du shit. Je préfère la beuh, au moins je sais ce qu’il y a dedans. Et puis du shit, j’en ai trop fumé au bout d’un moment ça fait plus rien et c’est dégueulasse, ça laisse un vieux goût de lavande dans la bouche. Mais bon, il n’y a que ça, alors on se défonce. Anaïs est partit super loin. Je la regarde d’un oeil distrait, elle me fait rire. Plus rien de ce qu’elle dit n’a de sens, elle invente des mots comme " Bobinet " ce qui est un mixe de " Robinet " et de " Bidet ". C’est fou comme un peu de shit et quelques bulles peuvent vous faire dire n’importe quoi. Ma meilleure amie s’endort sur moi. Et là je me met à me taper des fous rires avec Laura, une fille que je connais. Anaïs venait de lire son horoscope comme si elle lisait la mort et dit tout haut " comprend pas ! ". Gaelle a côté d’elle dit alors " Mais c’est parce que t’es conne!" et là, on a plus su nous arrêter Laura et moi, on est partit dans un fou rire incontrôlable. Laura a voulut s’appuyer contre une chaise et est tombée. J’ai explosé de rire et le propriétaire de la maison lui dit " Bah vas-y, casses mon mobilier ! " et Laura réplique " Ton mobilier c’est une chaise, wesh ! Bravo la vache ! " et encore un fou rire. J’en pleure. La soirée touche à son terme et je raccompagne ma meilleure amie là-haut pour dormir. Et je m’installe confortablement à côté d’elle et regarde les étoiles à travers la vitre. Cela faisait longtemps que je n’avais pas passer une si bonne soirée entre amis. C’était juste génial. Cela m’avait manqué et je me suis rendu compte comment un BAC pouvait nous faire passé à côté des vrais beaux moments de la vie. Car vraiment, entre nous, le BAC n’est qu’une formalité ? On s’en branle les steaks et ça fait chier. Oui, c’est décidé. Je préfère me prendre une bonne cuite que de réviser ce que compose le sang et comment et où il est répartie dans le corps.
" Et désolé pour ce soir si je fini à l’envers, après celle-la j’arrête de boire, laissez-moi juste la dernière! " Désolé pour hier soir, Tryo.

    #Alleycat.
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2014-07-02T21:21:00+02:00
https://alleycat.journalintime.com/Je-suis-alle-a-la-Gay-Pride Je suis allé à la Gay Pride. Samedi, je suis allé à la Gay Pride. J'ai juste adoré. J'ai rencontré des gens géniaux, même si on a parlé que quelques secondes. Les gens étaient léger et tout problème s'était envolé pendant cet après-midi là. Les personnes étaient déguisées de pleins de couleurs, les couleurs de l'arc-en-ciel... Les déguisements allaient aussi de pikachu à un simple slip. Le couple que j'accompagnais semblé être dans leur élément. Elles étaient heureuses ensemble et je ne pouvais que sourire face à ce débordement d'amour. Pourquoi j'y suis allé alors que je suis hétéro? Tout Samedi, je suis allé à la Gay Pride. J’ai juste adoré. J’ai rencontré des gens géniaux, même si on a parlé que quelques secondes. Les gens étaient léger et tout problème s’était envolé pendant cet après-midi là. Les personnes étaient déguisées de pleins de couleurs, les couleurs de l’arc-en-ciel… Les déguisements allaient aussi de pikachu à un simple slip. Le couple que j’accompagnais semblé être dans leur élément. Elles étaient heureuses ensemble et je ne pouvais que sourire face à ce débordement d’amour. Pourquoi j’y suis allé alors que je suis hétéro ? Tout simplement car je n’accepte pas le fait qu’on puisse détester deux personnes car elles sont humaines et qu’elles aiment. Et aussi car cela me répugne qu’on puisse tuer des personnes dans d’autres pays car elles sont homosexuelles. Donc, je me suis rendu là-bas pour la première fois de ma vie du haut de mes 17 ans et je dois dire que j’ai juste adoré. La musique battait son plein et tout le monde dansait derrière des chars de toutes les couleurs. Même sous la pluie, c’était magnifique. Tout était joyeux et plein de vie. Je crié, chanté, dansé avec mes amies et tout me semblait simple en ce moment précis. Tout était beau dans les couleurs de l’arc-en-ciel.
" Nous sommes tous des femmes, des homosexuels, des hétérosexuels, des Occitans… et nous ne devons permettre à personne de confisquer l’un ou l’autre de ses attributs, de s’en prévaloir et de reconduire le processus d’exclusion. "
Michel Thevoz.

    #Alleycat.
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2014-07-02T15:33:00+02:00
https://alleycat.journalintime.com/C-est-con-les-insomnies-on-raconte-que-de-la-merde C'est con les insomnies, on raconte que de la merde. Y'a même pas dix minutes, j'étais en train de regarder un film qui s'appelle " Hesher ". C'est l'histoire d'un metalleux qui débarque dans la vie d'un gamin pour on ne sait quelle raison et qui lui mène la vie dure, on ne comprend pas trop pourquoi il agit comme ça, surtout qu'ils ne se connaissent pas. Sans son autorisation, il commence à vivre chez lui, avec la grand-mère du petit ainsi que son père. Il y a une série de péripéties où on voit les deux se rapprochaient sans s'aimer. Le metalleux est complètement con est fait des choses vraiment inconscientes, ils brûlent tout ce Y’a même pas dix minutes, j’étais en train de regarder un film qui s’appelle " Hesher ". C’est l’histoire d’un metalleux qui débarque dans la vie d’un gamin pour on ne sait quelle raison et qui lui mène la vie dure, on ne comprend pas trop pourquoi il agit comme ça, surtout qu’ils ne se connaissent pas. Sans son autorisation, il commence à vivre chez lui, avec la grand-mère du petit ainsi que son père. Il y a une série de péripéties où on voit les deux se rapprochaient sans s’aimer. Le metalleux est complètement con est fait des choses vraiment inconscientes, ils brûlent tout ce qui passe sur son chemin, écoute du metal à fond, frappe tout le monde et ne fait pas attention à ce qu’il fait. Les gros stéréotypes sur les metalleux quoi : débile, inconscient, sataniste. Mais on se rend compte à la fin qu’en fait tout ce qu’il a fait à un sens et qu’il n’est pas rentré dans la vie de ce jeune pour le plaisir. On voit au-delà des stéréotypes posés sur ce metalleux, on voit sa façon de penser, de voir le monde, de venir en aide aux autres et de changer la vie des autres ainsi que leurs habitudes. On voit qu’il est plus intelligent que ce que l’on prétend. C’est vraiment un film génial et qui fait réfléchir. C’est peut-être le pourquoi que je suis là à une heure si tardive de la nuit. Je réfléchi. J’ai remarqué qu’en ce moment j’ai de plus en plus d’insomnies et que j’écris ici sans vraiment réfléchir. Enfin, si je réfléchi, mais j’écris que ce qui me passe par la tête pour pouvoir extérioriser. Si on me verrez en ce moment, je suis assise en tailleur sur mon lit avec mon ordi posé devant moi et je ne semble plus vouloir m’arrêter d’écrire. Je suis sûre que je pourrais tenir toute une nuit à écrire sans m’arrêter, les mots fusent tellement sans que je puisse rien n’y faire. Une larme est en train de couler le long de ma joue. Oui, je pleure. Et je passe du coq à l’âne aussi. Je pleure car je suis en train d’écouter une chanson qui me rend émotive, elle s’appelle " Last scene " de Sol-fa. Oui, à mes heures perdues, il m’arrive d’être mélomane. Je suis en train de penser à ce que je vais faire demain, enfin, tout à l’heure, il faut que j’aille acheter de quoi faire une fête pour vendredi. Et faut absolument que je voie ce film sur le reggae " Tout, tout de suite " il a l’air vraiment pas mal avec Jimmy Cliff. Je repense à la question que j’ai posé tout à l’heure à un ami " Quel est l’intérêt de ne pas faire quelque chose qui nous plait? " il m’a répondu " la contrainte " ... Je crois que ça aussi ça me tient éveiller. Je n’ai pas du tout compris sa réponse, je n’ai pas arrêté de la répéter à voix haute pendant au moins cinq minutes. J’ai vraiment pas compris. Je méditerais dessus plus tard. Enfin si j’y arrive. Je regarde la nuit par ma fenêtre. Faut vraiment que j’aille dormir. Oui, je garde les volets ouverts, je n’aime pas dormir les volets fermés, cela me permet de me réveiller de bonne humeur avec les rayons du soleil qui caressent ma peau. J’ai chaud, putain, j’ai chaud. Faut que je descende aller prendre une bouteille d’eau. Depuis tout à l’heure, ma musique a tournée, " 2 paranoid " de Black Sabbath bat son plein dans mes oreilles. Je suis en train de bouger dans tout les sens comme une folle à 02h54 du matin. Putain, faut vraiment que j’aille me coucher, je commence à faire n’importe quoi.
Ah, aussi pendant mes heures d’insomnie, je dessine. Beaucoup. C’est que je suis insomniaque en fait, si je dessine beaucoup. Putain, je viens d’apprendre que je suis insomniaque. Y’a du bon, on apprend des choses en étant insomniaque… Je devrais l’être plus souvent, alors!
Bon là, c’est plus possible, je raconte vraiment que de la merde.
" Quand on peut se regarder souffrir et raconter ensuite ce qu’on a vu, c’est qu’on est né pour la littérature. ", Edouard Bourdet.

    #Alleycat.
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2014-06-25T03:02:00+02:00
https://alleycat.journalintime.com/Son-nom-represente-la-Terre-il-s-appelle-Yakamoneye Son nom représente la Terre, il s'appelle Yakamonéyé. Dans un de mes moments d’absence qui ne cessent de se répéter depuis que je suis toute petite, je me suis imaginée un monde. Je ne sais pas s'il était bien, mais je l'aimais bien. Dans ce monde, il n'y avait pas de route, que de l'herbe, partout. Le ciel était toujours rempli de nuages blancs, comme ceux qu'on peut voir en une journée d'automne. Il ne faisait pas froid, ni chaud, on était bien. Il pleuvait cinq fois par semaine. Personne n'était malade et les personnes âgées n'étaient donc pas atteintes de la maladie d'Alzheimer. Il n'y avait pas d'école, c'était la famille qui Dans un de mes moments d’absence qui ne cessent de se répéter depuis que je suis toute petite, je me suis imaginée un monde. Je ne sais pas s’il était bien, mais je l’aimais bien. Dans ce monde, il n’y avait pas de route, que de l’herbe, partout. Le ciel était toujours rempli de nuages blancs, comme ceux qu’on peut voir en une journée d’automne. Il ne faisait pas froid, ni chaud, on était bien. Il pleuvait cinq fois par semaine. Personne n’était malade et les personnes âgées n’étaient donc pas atteintes de la maladie d’Alzheimer. Il n’y avait pas d’école, c’était la famille qui transmettait leur savoir, leur culture et on partait à la recherche d’autres. Il n’y avait pas de mode, pas de boutiques. On s’habillait comme on voulait et c’était nous qui faisions nos vêtements. Il n’y avait pas d’argent, mais du troc. On ne tuait pas les animaux, on était essentiellement des végétariens. Il y avait beaucoup, beaucoup d’instruments de musique. Il n’y avait pas de guerre. Il y avait quelques technologies, un ordinateur pour que je puisse continuer à écrire ici, avec les vieux téléphones fixe à fil, je les adore, c’est tout. Ah, si ! Il y avait aussi les avions, pour qu’on puisse partir dans de nouvelles contrées. Il y avait beaucoup de plages ainsi que la mer. Il y avait des animaux qu’on a jamais vu : un chat mélanger à un chien. Il n’y avait personne au-dessus de nous, il n’y avait pas de hiérarchie. On inculquait nous-même nos valeurs à nos enfants. On avait pas le droit de commettre des crimes : meurtre, vole… De toute manière, on ne connait pas les crimes dans mon monde. On avait tous des couleurs de cheveux différentes : violet, rouge, bleu, vert… Mais aussi des couleurs que je ne connaissais pas, que j’ai inventé : du jaune avec du violet, ça donnait un espèce de bordeaux bizarre avec des touches orange-jaune. Les chats pouvaient parler. Il n’y avait pas de frontières, pas de papiers, on allait où on voulait quand on voulait. Il y avait des arbres à la barbe à papa. Il n’y avait pas de glace, on ne pouvait pas savoir à quoi on ressemblait, à part dans les yeux de quelqu’un ou dans le reflet de l’eau, je trouvais ça drôle. Il y avait une chenille qui fume la chicha comme dans Alice aux pays des merveilles, j’ai toujours voulu en voir une en vrai. Il y avait des sirènes dans la mer, plutôt gentilles. On avait jamais super chaud la nuit, c’est chiant quand on a trop chaud. Bob Marley était encore vivant. Et dans mon monde il y avait beaucoup, beaucoup d’Amour et d’Humanité.
Malheureusement, j’ai dû sortir de mes rêves pour revenir à la vie réelle. Il fallait absolument que je termine ce CV et cette lettre de motivation pour aller travailler bordel de toilettes.
" Il n’y a pas qu’une seule réalité. Il existe plusieurs réalités. Il n’y a pas qu’un seul monde. Il y en a plusieurs, et ils existent tous parallèlement les uns aux autres, mondes et anti mondes, mondes et mondes fantômes, et chacun d’entre eux est rêvé ou imaginé ou écrit par un habitant d’un autre monde. Chaque monde est la création d’un esprit. "
Seul dans le noir, Paul Auster.

    #Alleycat.
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2014-06-24T02:20:00+02:00
https://alleycat.journalintime.com/Putain-c-est-quoi-cette-vie-qu-on-mene Putain, c'est quoi cette vie qu'on mène? Les mots filent seuls sur le clavier. Je suis encerclée par cette colère sourde qui me donne juste envie de sauter par la fenêtre. Oui, j'y ai déjà pensé plus d'une fois en voyant dans quel monde on est. ça me fou la rage au ventre de voir le monde autour de moi: si superficiel, si faux... Tout est dans le conformisme et la luxure. Il faut son petit confort pour ne pas être perdu, mais est-ce que c'est la vraie vie? C'est la vraie vie d'aller à l'école, d'avoir son bac, de faire des études supérieures, d'avoir un métier, un appartement, un mari, des gosses, un chien, une maison, Les mots filent seuls sur le clavier. Je suis encerclée par cette colère sourde qui me donne juste envie de sauter par la fenêtre. Oui, j’y ai déjà pensé plus d’une fois en voyant dans quel monde on est. ça me fou la rage au ventre de voir le monde autour de moi : si superficiel, si faux… Tout est dans le conformisme et la luxure. Il faut son petit confort pour ne pas être perdu, mais est-ce que c’est la vraie vie ? C’est la vraie vie d’aller à l’école, d’avoir son bac, de faire des études supérieures, d’avoir un métier, un appartement, un mari, des gosses, un chien, une maison, la payée jusqu’à la retraite et à partir de ce moment là, compter chaque jour qui nous rapproche de plus en plus à celui de la mort ? C’est ça la vie ? Boulot, métro, dodo ? Faire tout le temps la même chose, chaque jour de chaque année ? Oui, bien sûr, il y a les sorties entre potes, les concerts, la famille, les fêtes, les anniversaires, les boîtes de nuit, la St Valentin… Mais tout cela n’est pas juste là pour nous rappeler qu’en fait, notre vie n’est pas si monotone que ça ? Franchement, est-ce qu’on serait pas en train de se foutre de notre propre gueule ? On est là, a profiter des petits plaisirs de la vie, à ce préoccuper de soi-même, en se disant qu’on a déjà assez de soucis pour s’occuper de ceux des autres, mais si on s’aidait tous, le monde n’en serait peut-être pas là aujourd’hui, ça se trouve, je sais pas moi, y’aurait moins de gens qui dort sous les ponts à l’heure où j’écris. En fait, je pense que la vie est belle, mais que c’est nous qui la rendons hideuse. Avec tout ce qui se passe dans le monde, on prend même pas le temps de se dire que la vie est devenue juste un gros merdier et que nous en sommes en parti la cause. Le travail bouffe tout notre temps, on travail pour des gens qui ne le mérite pas, le gouvernement s’augmente alors qu’on galère pour bouffer, on abrutit les jeunes devant la télévision devant des télé réalités complètement débiles et futiles pour leur enlever leur envie de rébellion, pour qu’ils cherchent un sens à leur vie derrière ses conneries pitoyables. La vie va mal, on s’en rend compte et j’ai pas l’impression qu’on fait vraiment quelque chose pour l’aider. Il y a quelques temps j’ai déclaré tout cela à un ami, il m’a répondu agressivement, comme si il se rendait compte qu’il était fautif " Tu dis tout ça, mais toi tu fais quelque chose pour l’aider, cette vie ? " je lui ai répondu " je fais ce que je peux pendant que d’autres ne font rien. J’essai de mener une vie saine, d’être vraie, de ne pas polluer, de faire passer les problèmes des autres avant les miens, de m’occuper de ceux que j’aime et de profiter de ma vie sans être un automate et sans suivre le troupeau. Je ne suis pas parfaite, j’en suis consciente et personne n’est parfait, nous ne sommes pas né pour l’être, mais je pense que c’est dans nos capacités pour que le monde, la vie aille mieux. Tu vois, si par exemple le gouvernement reverse 10% de l’argent qu’il donne pour ses forces militaires au tiers-monde, il ne serait plus affamé. Et avant de pointer du doigt en me reprochant presque que je ne fais rien, rassures-toi que tes mains sont propres. "
Il n’y aura pas de citation aujourd’hui, je n’en ai pas le coeur et la force. Bonne nuit.

    #AlleyCat.
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2014-06-21T02:24:04+02:00
https://alleycat.journalintime.com/La-nuit-et-ses-eclairs La nuit et ses éclairs. Je suis là, dehors, assise par terre. L'air est doux et transporte doucement mes cheveux. Il ne fait pas froid, mais il ne fait pas chaud non plus. Il n'y a pas un bruit dehors, tout est calme et serein. La couleur du ciel est noir parsemé de bleu foncé. Quelques étoiles scintillent ici et là, seules dans un océan de ténèbres. Mon sarouel bouge en fonction du vent et fait un léger bruit sur le sol. Tout est paisible, tout est si bien. Mon portable lance discrètement une chanson de Bob Marley, comme si elle venait de loin, qu'on l'entendait à peine, qu'elle venait d'une maison Je suis là, dehors, assise par terre. L’air est doux et transporte doucement mes cheveux. Il ne fait pas froid, mais il ne fait pas chaud non plus. Il n’y a pas un bruit dehors, tout est calme et serein. La couleur du ciel est noir parsemé de bleu foncé. Quelques étoiles scintillent ici et là, seules dans un océan de ténèbres. Mon sarouel bouge en fonction du vent et fait un léger bruit sur le sol. Tout est paisible, tout est si bien. Mon portable lance discrètement une chanson de Bob Marley, comme si elle venait de loin, qu’on l’entendait à peine, qu’elle venait d’une maison voisine, j’aime bien cette ambiance. Une ligne blanche traverse le ciel et disparaît aussitôt. Cela me fait penser à un flash d’appareil photo. C’est inquiétant comme excitant. ça me donne le sourire aux lèvres. Un autre éclair traverse la pénombre au dessus de moi. Que c’est beau. ça ne fait pas de bruit, c’est discret et furtif, on ne pourrait pas se douter une seconde que cela pourrait être dangereux. Je suis en train de penser en regardant mes chaussures que si un éclair vient traverser mon corps, il serra retenu dans le caoutchouc de mes chaussures et que je pourrais exploser comme un feu d’artifice et aller dans un monde, peut-être, moins néfaste. Un frisson me parcours. Comment une chose aussi belle peut prendre la vie de quelqu’un en si peu de secondes ? Un avion contourne le nuage où on lieu les éclairs. Les personnes dans l’avion les voient-ils de super près ? Voient-ils chaque détail de l’éclair ? D’où ils commencent jusqu’à sa disparition ? Cela doit vraiment être beau… En regardant ce spectacle qui s’offre à mes yeux, une révélation se fait : j’aime la nuit, mais encore plus ses éclairs.
" Agitez une lame d’or, elle jettera des éclairs; tourmentez un grand nom, il resplendira. " Choses vues, Victor Hugo.

    #Alleycat.
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2014-06-09T23:20:24+02:00