Une série de gros mots.
Putain de bordel à chiasse de mes deux. Salope de casse-noisette de putain de merde de balai de chiottes de mes ovaires. Lutin de Merle ! Mongolien de graines de pécan mélanger à de la bouse de vache en rute, sacrebleu !
J’ai eu mon BAC, les amis.
Fallait bien que quelqu’un le dise, je me suis portée volontaire.
(Mais entre nous… Nous savons que ce n’est qu’une formalité, n’est-ce pas?...)
" Du jour où vous créez un diplôme, un contrôle bien défini, vous voyez aussitôt s’organiser en regard tout un dispositif non moins précis que votre programme, qui a pour but unique de conquérir ce diplôme par tous moyens. Le but de l’enseignement n’étant plus la formation de l’esprit, mais l’acquisition du diplôme, c’est le minimum exigible qui devient l’objet des études. Il ne s’agit plus d’apprendre le latin, ou le grec, ou la géométrie. Il s’agit d’emprunter, et non plus d’acquérir, d’emprunter ce qu’il faut pour passer le baccalauréat. " Paul Valéry, Le bilan de l’intelligence (1935), in Variété, Œuvres, t. 1, Gallimard, Pléiade, p. 1076.
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#Alleycat.